Ludique, pratique : Kokumotsu présente la girafe Pythagoras !
C’est l’une des préoccupations majeurs du menuisier ou de l’ébéniste, y compris chez les professionnels : nos assemblages, qui doivent être d’équerre, sont-ils réellement d’équerre ?
Pour résoudre cette épineuse question nos Zanciens, qui n’étaient pas dépourvus de jugeote, ont apporté leurs solutions. Parmi celles qui ont résisté à l’épreuve du temps, on trouve l’ingénieuse équerre et la non moins ingénieuse mais stupéfiante méthode dite « des diagonales ».
Ces solutions ont prospéré et il n’est pas rare aujourd’hui de trouver dans nos caisses à outils des équerres simples, des équerres à chapeau, des équerres japonaises, des équerres de renvoi, des équerres multi-angle et même des équerres… à combinaison (histoire de ne pas se les faire voler) !
Mais les temps ont changé, les mœurs ne sont plus celles de l’époque de nos Zanciens… Et si la panoplie ci-dessus trouve encore grâce dans les caisses à outils des menuisiers modernes (ceux qui sont entièrement mécanisés), il y manque toutefois l’outil qui fleure bon l’air du temps, l’outil qui tête avec brio les trois mamelles de l’époque : sécurité, qualité, rentabilité, efficacité.
Fidèle à son rendez-vous triennal, et après la mise au point éprouvante de ses ébouriffantes butées d’établi, le service R&D de Kokumotsu a développé l’équerre ultime, celle qui, loin de toute fioriture inutile, n’a que deux usages. Et deux usages seulement : vérifier l’équerrage d’un assemblage ou faire beau sur l’établi.