Archives de
Month: avril 2016

L’établi (presque comme Festool)… en puzzle !

L’établi (presque comme Festool)… en puzzle !

Alors voilà : j’avais à remplacer la plaque trouée de mon établi MFT/3 Festool (réf. 495543) et je me suis dit que je pourrais me servir de la nouvelle plaque comme gabarit, comme modèle, afin de me faire quelques plaques supplémentaires… à moindre coût.

Pourquoi avoir plusieurs plaques trouées ?

La raison la plus évidente, c’est d’avoir quelques plaques de rechange. Les plaques Festool durent longtemps, mais elles finissent quand même par succomber un jour ou l’autre…

Avec des plaques supplémentaires, on peut aussi élargir son premier établi MFT et profiter ainsi d’une plus grande surface de travail.

Pour les collages, les perçages de la table MFT/3 sont drôlement pratiques : associés à des butées d’établi (comme les butées Kokumotsu, par exemple) ils offrent de multiples points d’appui pour les pièces, et sont d’équerre…

Donc, j’ai la nouvelle plaque, je vais la copier, je sais comment m’y prendre pour la copier mais… mais pour ça, il y peut-être quelqu’un, quelque part sur Internet, qui a eu une meilleure idée que la mienne pour le même résultat…

Cherchons un peu…

J’ai cherché… Et…

Et je suis en effet tombé sur une bien bien meilleure idée que la mienne… Mais qui n’avait rien à voir avec ma recherche de départ…

Lire la suite Lire la suite

Ludique, pratique : Kokumotsu présente la girafe Pythagoras !

Ludique, pratique : Kokumotsu présente la girafe Pythagoras !

C’est l’une des préoccupations majeurs du menuisier ou de l’ébéniste, y compris chez les professionnels : nos assemblages, qui doivent être d’équerre, sont-ils réellement d’équerre ?

Pour résoudre cette épineuse question nos Zanciens, qui n’étaient pas dépourvus de jugeote, ont apporté leurs solutions. Parmi celles qui ont résisté à l’épreuve du temps, on trouve l’ingénieuse équerre et la non moins ingénieuse mais stupéfiante méthode dite « des diagonales ».

Ces solutions ont prospéré et il n’est pas rare aujourd’hui de trouver dans nos caisses à outils des équerres simples, des équerres à chapeau, des équerres japonaises, des équerres de renvoi, des équerres multi-angle et même des équerres… à combinaison (histoire de ne pas se les faire voler) !

Mais les temps ont changé, les mœurs ne sont plus celles de l’époque de nos Zanciens… Et si la panoplie ci-dessus trouve encore grâce dans les caisses à outils des menuisiers modernes (ceux qui sont entièrement mécanisés), il y manque toutefois l’outil qui fleure bon l’air du temps, l’outil qui tête avec brio les trois mamelles de l’époque : sécurité, qualité, rentabilité, efficacité.

Fidèle à son rendez-vous triennal, et après la mise au point éprouvante de ses ébouriffantes butées d’établi, le service R&D de Kokumotsu a développé l’équerre ultime, celle qui, loin de toute fioriture inutile, n’a que deux usages. Et deux usages seulement : vérifier l’équerrage d’un assemblage ou faire beau sur l’établi.

Lire la suite Lire la suite